Pour les défenseurs des droits des animaux, l’épouse de l’opposant insinue que cette situation serait tout a fait normale si c’était des animaux qui étaient tués. Dans leur plainte, ils se demandent si les chiots n’ont pas le droit de vivre. Si! Répondent-ils eux-mêmes.
Ils ne comptent pas lâcher l’affaire. On attend la date du procès ou un règlement à l’amiable. Avec Guinéedecalée