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Cheikh Abdou Lahad Mbacké Gaïnde Fatma Réagit à l’Affaire des « Véhicules de la Présidence »

L’affaire des « véhicules de la présidence » refait surface dans les débats publics, suscitant de nombreuses réactions. Parmi elles, celle de l’ancien ministre conseiller de Macky Sall, Cheikh Abdou Lahad Mbacké Gaïnde Fatma, se distingue par sa clarté et sa transparence.

Dans un post publié sur sa page Facebook, Cheikh Abdou Lahad Mbacké Gaïnde Fatma a tenu à éclaircir les faits concernant l’utilisation des véhicules officiels mis à disposition des membres du gouvernement. Il rappelle que, en tant que ministre conseiller du Président, il avait droit à l’utilisation d’un véhicule pour ses fonctions.

Il précise : « On m’en avait attribué un pour les besoins de la fonction. Je l’ai rendu le 3 avril 2024, bien avant que l’État ne les réclame. » Cette restitution anticipée, avant même une quelconque demande de l’État, témoigne de sa volonté de respecter les règles et de maintenir une gestion transparente des biens publics.

Cheikh Abdou Lahad Mbacké Gaïnde Fatma souligne également qu’il n’a reçu aucune demande de restitution, justement parce qu’il avait déjà pris l’initiative de rendre le véhicule. Cette précision vise à dissiper tout malentendu ou toute accusation potentielle concernant une rétention injustifiée de biens de l’État.

En partageant ces informations sur sa page Facebook, Cheikh Abdou Lahad Mbacké Gaïnde Fatma répond aux interrogations du public et aux critiques qui peuvent entourer cette affaire. Sa démarche proactive et transparente montre son engagement à respecter les procédures en vigueur et à assurer une gestion rigoureuse des ressources publiques.

Cette intervention s’inscrit dans un contexte où la gestion des biens de l’État est scrutée de près, et où chaque clarification contribue à apaiser les débats et à renforcer la confiance du public dans les institutions. Cheikh Abdou Lahad Mbacké Gaïnde Fatma, par son geste et sa communication, entend ainsi rétablir les faits et apaiser les tensions autour de cette affaire récurrente.

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