Antoine Diome a d’emblée rappelé que «lors d’un fallu reporter ces élections devant les députés, c’est une loi qui a été votée à l’Assemblée nationale et qui a prévu ce rapport suite à un consensus noté dans le cadre de la commission politique du dialogue national ». Lequel consensus, soutient-il, «a été fait autour de la nécessité selon les différents acteurs utilisés pour le processus électoral depuis les élections de 2016, auditer le fichier électoral et enfin de s’accorder sur une proposition de date qui devra être actée par décret ». Selon lui, ce sont «les préalables sans qu’il ne sera possible de tout de suite se prononcer sur une date». Mais, assure-t-il, «en tout état de cause, le processus est en cours, les experts qui doivent auditer le fichier sont en train d’être étudiés et les conclusions qui seront issues de ce travail sur les acteurs de déboucher sur une date certaine ».