Ce samedi 8 juin 2024 marque une rencontre significative entre Ousmane Sonko, leader du parti sénégalais Pastef, et l’avocat et militant français Juan Branco. C’est la première fois que les deux hommes se rencontrent en personne, malgré une collaboration étroite qui s’est développée au fil des années.
Ousmane Sonko a exprimé sa gratitude et son admiration pour Juan Branco dans un message publié sur les réseaux sociaux. Il a déclaré : « Il s’est donné corps et âme pour le projet, spontanément, bénévolement et passionnément. Il s’est engagé pour les victimes de la répression d’État et leurs familles. Il l’a fait sans me connaître, sans les connaître et il en a payé le prix fort. » Ces mots rendent hommage à l’engagement désintéressé et au dévouement de Branco envers la cause des droits humains au Sénégal.
Juan Branco a pris la décision de soutenir Pastef et les victimes de la répression étatique au Sénégal de manière spontanée et bénévole. Il a apporté son expertise juridique et sa voix médiatique pour dénoncer les abus de pouvoir et défendre les droits des citoyens sénégalais. Cette collaboration a été marquée par une profonde détermination, malgré les défis et les sacrifices personnels que cela a impliqués pour Branco.
La rencontre entre Sonko et Branco ce jour est bien plus qu’un simple événement personnel ; elle symbolise le renforcement d’une alliance stratégique et morale dans leur lutte commune pour la justice et les droits humains. Cette rencontre pourrait avoir des répercussions importantes sur la dynamique politique et juridique actuelle au Sénégal.
Ousmane Sonko a conclu son message avec des remerciements sincères : « Merci Juan d’avoir été et d’être encore là ! » Ces mots reflètent la reconnaissance et l’appréciation profondes de Sonko pour le soutien indéfectible de Branco, soulignant l’importance de leur collaboration.
Cette rencontre du 8 juin 2024 restera sans doute gravée dans l’histoire de Pastef et pourrait marquer un tournant dans les efforts de résistance contre la répression étatique au Sénégal.
