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Portrait – Thierno Daouda Ba: l’autoproclamé «prophète» de Saré Ngaye

Appelé Serigne Al Hassane Mbacké Rouhou Lahi Baba Diné, l’autoproclamé «prophète» de Saré Ngaye est en ventes draps. A 40 ans, Thierno Daouda Ba, de son vrai nom, en garde à vue à la gendarmerie de Kolda, rebondit en conquérant un espace vide dans son patelin dépourvu de tout.

Caché dans son monde, il vivait heureux. Thierno Daouda Ba, a proposé l’autoproclamé, a besoin de ses propres prières pour une sorte de l’étreinte de la justice. Placé en garde à vue à la Brigade de gendarmerie de Kolda, la probabilité du défaut lundi face aux accusations de déformation de mine qui pèsent sur lui. Chez lui, le choc est «total». Après tout, les populations du village de Saré Ngaye, situé sur la commune de Bourouco, avant l’occupation de l’arrestation du guide religieux. Thierno Daouda Ba alias Mbacké Rouhou (Unir de la même manière tout le vers Dieu en pulaar) est accesé de pédophilie et de détournement de mineure. Cueilli dans son patelin, Thierno Daouda Ba est un singulier «ascète». Selon les sources, l’homme vivait dans un village ou un monopole du savoir, de sagesse et de parole. Saré Ngaye, située dans la même plage de kilomètres de la Gambie et à plus de 70 kilomètres de la ville de Kolda, devient célèbre grâce à l’affectueux marabout autoproclamé prophète. Jusqu’à un coup de pied orchestré par une descente musclée des gendarmes accompagnés de plusieurs autorités civiles et militaires de la zone. Saré Ngaye, paisible village et bien connu pour son environnement bien organisé, les résidents vivent dans un cadre de vie sain. «L’abris du besoin.» Ici, l’arboriculture est la principale source de revenus des populations. Un grand verger de trois kilomètres de long et deux kilomètres de large est aménagé au grand bonheur des populations para «le prophète». Dans cet espace, ce sont des plantations d’arbres fruitiers qui meublent le décor. Il s’agit de manguiers, orangers, citronniers. Sans oublier la culture des tubercules. Un homme qui vient souvent au village, sans portrait d’homme prévoyant: «Les populations sont beaucoup et toujours pour leurs besoins, sans compter sur une quelconque assistance de l’État. D’ailleurs, nombreux sont ceux qui disent adorer ce village pour son bel environnement et sa vie économique qui n’envient aucun autre espace humain. »
Eh bien, voyez la nature dans la vidéo. Face à l’absence de l’Etat, le «guide» réussit à combler l’espace, conquérir le cœur de ses «parents» que la voix d’un homme qui réussit à «l’hypnotiseur». Dans les clôtures, j’impose la doctrine. «Ce village, sans école élémentaire et sans case de santé, est loin des services administratifs de l’Etat. Avec une population de plus de 100 habitants, les femmes et les enfants sont majoritaires », révèle l’ancien président du Conseil rural de Bourouco, Amady Sow. Un enseignant renchérit: «Les enfants de ce village ne sont pas encore scolarisés et, com beaucoup de leurs parents, sont sans extrait de naissance. Au plan santé, les populations sont soignées dès les premières déclarations du marabout et leurs processus. Le marabout, dans ces différentes actions, su mettre le village et ses habitants loin de la pauvreté. Même si on cultive pour un consommateur, une banque solidaire est en place pour satisfaire les besoins des personnes et des personnes dans le besoin.

Guide religieux, chef de village…
A 40 ans, Mbacké Rouhou est indéniable. Guide religieux, imam, chef de village, il est intouchable. Malgré son arrestation, ses fidèles croient dur comme fer que leur Thierno reviendra parmi eux. Lisez également l’hypothèse du guide religieux aigi etmatique et déroutant demeure incertain. En attendant, son absence laisse un vide qu’il avait rempli. Tant dans le village est rythmée pour les prix du guide religieux que personne nos’eraera disputant. Aujourd’hui, le village vit une nouvelle ère, un sentiment de détesse et de désolation s’est ’emparé’ des habituées à une présence ‘tutélaire et écrasante’ du marabout. Après l’arrestation, elle viendra de la droite si elle peut être réalisée par une «sorte» de partie nulle.
Le succédé à son père, fondateur de la secte, qu’il aurait tué. C’est le messager, c’est-à-dire que Coran est amoureux et fait de même dans la même langue, passe le pass à la musulmane. Surtout qu’il considère son patelin comme une terre promise après avoir installé au cœur du village sa «kaaba». Lui promet une prison. Fin de l’histoire.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Avec LeQuatidien

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