« Un État ne recule pas, il doit rester fort et mater ces rébellions », soutient-il sur L’Observateur. Pour le collaborateur de Macky : « L’arrêté Ousmane Ngom est encore en vigueur. Si ces gens-là insistent pour manifester sur la Place de l’Indépendance, cela veut dire qu’ils choisissent d’être hors-la-loi et s’ils sont hors-la-loi, la loi est là pour se faire respecter ».
A l’en croire, une reculade de l’État serait, d’une extrême gravité. Elle ouvrirait un boulevard à toutes sortes de dérives qui feraient perdre à l’État sa face.