Tel-Aviv, 16 juin 2025 — Une cyberattaque spectaculaire attribuée au Corps des Gardiens de la Révolution islamique (CGRI) iranien a gravement affecté le système de défense antimissile israélien, le Dôme de fer. Selon plusieurs sources militaires, cette offensive numérique a provoqué une série de dysfonctionnements ayant conduit les Forces de défense israéliennes (FDI) à tirer accidentellement des missiles sur leur propre territoire, en plein cœur de Tel-Aviv.
Une attaque numérique d’une précision redoutable
L’attaque aurait débuté peu après minuit, lorsqu’une faille dans les réseaux de communication du Dôme de fer a été exploitée. Les systèmes de ciblage se sont alors désynchronisés, provoquant des erreurs d’interprétation des trajectoires de missiles entrants.
Au lieu d’intercepter des roquettes en provenance de Gaza et du Sud-Liban, certaines batteries israéliennes ont mal identifié leurs cibles. Résultat : plusieurs missiles Tamir — conçus pour défendre le territoire — ont été redirigés vers des zones urbaines de Tel-Aviv.
Les quartiers de Ramat Gan, Florentin et une partie du centre-ville ont été touchés. Les sirènes n’ont pas toujours retenti à temps, augmentant la confusion et la panique. Les services d’urgence israéliens rapportent au moins 22 blessés, dont 5 dans un état critique. Des immeubles résidentiels ont été endommagés, et une école a été évacuée d’urgence.
Le CGRI revendique indirectement
Sur des canaux de communication liés au CGRI, des messages codés ont été publiés au matin, suggérant une implication directe :
« Quand les boucliers tombent, les armes se retournent. »
Des spécialistes de la cyberguerre estiment que cette attaque pourrait avoir été planifiée depuis plusieurs mois, avec une infiltration profonde des systèmes israéliens par des logiciels espions dormants activés au moment stratégique.
Une défaillance stratégique embarrassante
Le Dôme de fer est depuis des années l’un des symboles de la supériorité technologique d’Israël. Sa perturbation, et surtout son utilisation involontaire contre des civils israéliens, représente un choc pour l’opinion publique et un revers stratégique majeur pour l’armée.
Le porte-parole des FDI a reconnu « une faille temporaire dans la coordination des systèmes de défense », tout en précisant qu’une enquête conjointe entre les unités cyber et l’unité 8200 est en cours.
Une riposte en préparation ?
Le cabinet de guerre israélien s’est réuni en urgence à Jérusalem. Le Premier ministre a déclaré :
« Ceux qui pensent pouvoir frapper Israël dans l’ombre se trompent lourdement. Notre réponse sera claire, directe et à la hauteur de l’agression. »
Des analystes estiment qu’une cyber-représaille israélienne, voire une opération ciblée contre des infrastructures iraniennes, pourrait intervenir dans les prochaines heures.
Conclusion :
Ce qui s’est produit cette nuit à Tel-Aviv marque un tournant. La guerre moderne ne se limite plus aux roquettes et aux drones, mais se joue aussi dans le silence des lignes de code. Et cette fois, la technologie israélienne s’est retournée contre elle-même.