Vendredi à Aurora, dans le Colorado, Donald Trump a accusé Kamala Harris d’être une « criminelle » responsable de l’importation d’une « armée d’étrangers illégaux ». Il a promis que son retour à la Maison Blanche entraînerait la « libération » d’une « Amérique occupée ». Cette rhétorique antimigrants se distingue fortement de l’approche centriste de Harris, qui cherche à attirer les électeurs modérés.