Divers sujets font le menu de la livraison du week-end des quotidiens, parmi lesquels, dont celui se rapportant à la liste des joueurs sénégalais convoqués pour les deux prochains matchs des Lions du football contre la Namibie, dans le cadre des éliminatoires de la Coupe du monde 2022.
« Cissé +recrute+ Bouna Sarr et +adoube+ Bamba », peut-on lire à la Une de Sud Quotidien par exemple, faisant référence à la convocation de Bouna Sarr du Bayern Munich et Bamba Dieng de l’Olympique de Marseille, les deux nouvelles têtes de la Tanière.
Le premier, qui a également des origines guinéenne et française, était convoité de longue date pour le Sénégal, mais avait jusque-là dit réserver la priorité à l’équipe de France.
Bamba Dieng, jeune attaquant du club phocéen, est lui crédité d’une très belle entame de saison qui lui a valu d’être convoqué en équipe nationale de football.
« Si Aliou Cissé a globalement maintenu son ossature », Bouna Sarr et Bamba Dieng, « comme attendu, font leur entrée en sélection », souligne Sud Quotidien.
« Aliou Cissé poursuit le chantier à droite avec Bouna Sarr », note Enquête, citant le sélectionneur des Lions selon lequel le latéral du Bayern Munich « n’a pas fait un choix par défaut » en choisissant de jouer pour le Sénégal.
« Comme je l’ai entendu un peu à gauche et à droite, je ne crois pas que Bouna ait fait un choix par défaut », a-t-il déclaré, insistant sur le fait que la décision du joueur a aussi été dicté par ses relations avec d’autres pensionnaires de la Tanière.
Aliou Cissé est allé « jusqu’au bout de ses certitudes », en convoquant « les mêmes et deux nouveaux que sont Bouna Sarr et Bamba Dieng », analyse L’Observateur.
Selon le journal, le sélectionneur national, commentant sa nouvelle liste lors d’une conférence de presse, a défendu ses choix, qu’il s’agisse de l’arrivée de Bouna Sarr, de l’absence de joueurs locaux de ou du chantier du côté droit de la défense sénégalaise.
Sud Quotidien s’intéresse à la campagne agricole 2021, interrogeant à propos un ingénieur agronome qui soutient que « l’hivernage de l’année dernière est meilleur que celui de cette année ».
L’As évoque la problématique de l’approvisionnement en eau potable de la région de Dakar en rapportant que la Sones, chargée de la gestion du patrimoine du service public de l’hydraulique, « veut zéro couac ».
Walf quotidien révèle que « 50% des ménages sont gérés par les retraités », selon les statistiques rendues publiques par le Conseil national des aînés du Sénégal (CNAS), à l’occasion de la Journée internationale des personnes âgées.
Vox Populi se projette sur la rentrée scolaire arrêtée pour le 14 octobre, pour signaler qu’à deux semaines de cette échéance, « 66 écoles (sont) encore sous les eaux à Dakar ». L’Observateur, intéressé par le même sujet, affiche : « La rentrée scolaire +eau+ point mort ».
Le journal ajoute que certaines écoles du Sénégal « sont toujours envahies par les eaux, notamment en banlieue dakaroise, à Rufisque et à Saint-Louis ».
« Larges flaques d’eau, cours envahies par les herbes sauvages, eaux usées mêlées aux ordures… », il fait état d’un « spectacle désolant qui risque d’hypothéquer le retour en classes des potaches ».
Le Soleil propose un retour sur « la légende » du Xalam, groupe pop sénégalais, qui « a ébloui les scènes musicales et culturelles du Sénégal et du monde », entre 1970 et 1990.
Les mélomanes découvraient au cours de ces années « des as du rythme et de la mélodie, férus de l’innovation artistique. Avec un parcours plein d’aspérités, leur nom inspire encore aujourd’hui le respect », écrit Le Soleil.